Retour sur un week-end healthy, Yoga Vinyasa et Yin yoga avec Isa Armand.
Un petit groupe très sympathique, qui a trouvé également le temps de profiter du village de Sainte Vertu et de Chablis, tout à coté.
Isa Armand nous propose un nouveau week-end de yoga doux et restauratif, du vendredi 3 au dimanche 5 juillet.
En petit groupe et dans le respect des principes sanitaires, nous vous proposons une immersion 100 % nature dans le village de Sainte Vertu.
Un temps de re-connection et d’ancrage dans la nature, de partage doux et joyeux après ces derniers mois parfois difficiles. Et aussi des séances de yoga dynamiques adaptées aux débutants comme aux initiés, des séances de Yin Yoga doux et restauratif et pourquoi une Danse du Dragon !!
Isa est formée au yoga Vinyasa et au Yin yoga. Elle vient du monde du spectacle – comédienne et metteur en scène – et continue de se former auprès du danseur et chorégraphe Peter Gross.
Vous serez chaleureusement accueillis dans le village, chez l’habitant ou en chambre d’hôtes, et pourrez profiter de la campagne environnante, réserver un bon massage avec Marion (selon disponibilités), visiter la galerie d’art Joëlle Kem Lika et ses expositions, profiter des repas bios, sains et de saison.
Ce stage se pratiquera en petit groupe de 6 personnes maximum.
Accueil et démarrage du stage vendredi après-midi à 17h, départ vers 12h. De nombreuses possibilités de ballades sont possibles dans cette région magnifique.
Contactez-nous pour recevoir le programme détaillé !
Le parcours d’Isa
J’enseigne aujourd’hui le Vinyasa Yoga et le Yin Yoga en cours particuliers ou collectifs dans hôpitaux, des écoles de théâtre, entreprises, studios de yoga ou associations. Je suis diplômée de la Fédération française de Yoga par Gérard Arnaud, puis formée par Cécile Roubaud au Yin Yoga, après plus de vingt ans passés dans le spectacle (comédienne et metteur en scène) mêlant les mots aux pratiques corporelles.
Le yoga est pour moi un art, une discipline, un voyage.
Je trouve dans cette pratique une ressource, un bien-être, un champ d’expérience que je souhaite partager avec la rigueur, avec la conscience et la bienveillance auxquelles le yoga invite.
Le yoga m’a donné une liberté autre, une énergie autre, un souffle différent et une ouverture nouvelle. Il permet de mieux se relier à soi-même, de lâcher prise, d’accepter avec plus de confiance ses limites, chaque jour différentes. En transformant peu à peu mes possibilités ou mes impossibilités tout en respectant mes différences sans être dans la performance ni la compétition, j’ai développé une capacité d’adaptation, une souplesse physique et mentale, et j’accueille plus facilement la vie.
Je recherche dans ma pratique et dans mon enseignement à relier avec fluidité les postures par des ajustements précis, tout en synchronisant le mouvement sur la respiration. Le but du yoga n’est pas de faire de belles postures mais d’utiliser les postures pour mieux se connaître, trouver une véritable ressource sur le plan physique, psychique et émotionnel.
Je continue aussi d’apprendre chaque jour à travers ma pratique et l’enseignement, l’un et l’autre étant naturellement reliés, avec le danseur et chorégraphe Peter Goss, auprès de Benoît Le Gourriérec et Cécile Roubaud en France et à l’étranger.
Je me réjouis aujourd’hui de pouvoir transmettre cette passion et de partager cette recherche philosophique qui n’ont de cesse d’améliorer ma vie.
Merci à Top Santé pour son interview sur la digitale detox dans son numéro de mars : « Comment se libérer du smartphone en 3 étapes »
L’écologie digitale devient – enfin- un sujet d’actualité et de société.
Et vous, comment trouvez vous votre équilibre, entre l’usage quotidien de ces outils qui nous rendent tant de services, et le recul indispensable pour ne pas tomber dans l’addiction et la pratique compulsive ?
L’écologie digitale, 🌳c’est aussi l’adoption de pratiques plus vertueuses pour l’environnement et le climat (vider ses boîtes mails, éviter de regarder les vidéos en streaming, par exemple…). Car le bilan carbone des serveurs est colossal, ce dont nous ne nous rendons pas toujours compte.
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Retrouvez nous pour un prochain week-end à Sainte Vertu.
Virginie Boutin est coach, ergonome et web designer. Elle intervient dans le cadre de la Guilde du bonheur au travail de la Fabrique Spinoza, est co-fondatrice de la solution d’accompagnement en ligne Bloomr.
Elle anime les ateliers « détox digitale » à Saint Vertu
Notre objectif : apprendre à nous déconnecter pour mieux se reconnecter.
Nous constatons tous au quotidien que le numérique impacte notre vie personnelle et professionnelle.
Les week-ends ‘détox digitale’ sont l’opportunité pour reprendre en main nos habitudes numériques, de gagner du temps, de la sérénité, de l’efficacité.
Virginie : as tu eu des surprises dans le cadre de tes programmes d’accompagnement sur le droit à la déconnection ?
Oui, plusieurs : notamment cette fois où un groupe de travail à remonté le problème de l’intrusion de la vie privée dans la vie professionnelle ! On pense rarement au sujet dans ce sens-là, mais certains collaborateurs reçoivent beaucoup de SMS dans la journée (et les lisent) et cela rend difficile d’avoir leur pleine attention…
J’ai aussi été étonnée de découvrir que certaines personnes sont très peu informées sur des solutions extrêmement simples pour alléger leur boîte mail : par exemple un filtre pour ranger automatiquement tous les mails provenant d’un système robotique. Une femme en recevait plusieurs dizaines par jour sans jamais se plaindre ! En une minute c’était réglé.
Quel est l’objectif de ceux qui font une « detox digitale » ?
Ceux qui identifient ce besoin de détox digitale ont parfois été « réveillé.es » par leur entourage qui leur demande de lâcher le smartphone pendant les repas, mais la plupart ressentent eux-mêmes un besoin de déconnexion et n’y arrivent pas seul.es.
L’objectif est clairement de reprendre la main sur son utilisation du digital : pour que la vie numérique soit pour le meilleur, pas pour le pire, et surtout un choix conscient et non une habitude automatique.
À quel besoins cela répond-il ?
En premier lieu un besoin instinctif (et juste) de faire une pause, de laisser son cerveau se régénérer. Le bénéfice immédiat est donc un break régénérant.
Ensuite les personnes viennent pour des raisons variées, comme rebooster leur créativité ou prendre du recul sur certaines décisions à prendre… ce qui peut-être difficile quand on est collé à l’écran une trop grande partie de la vie.
Qui est concerné ?
Les adultes qui ont senti de près ou de loin que les merveilleux outils numériques ont pris trop de pouvoir sur leur vie et souhaitent retrouver un équilibre digital. Ceux qui se sont rendus compte qu’ils n’arrivaient plus à se concentrer quand ils en ont besoin… leur cerveau zappe tellement souvent qu’il ne sait plus rester sur un seul sujet plus de quelques minutes. Ceux qui souhaitent reprendre la main sur leur vie numérique pour en retirer tous les bienfaits sans devenir un zombie 🙂
Que peut t’on attendre dans le cadre d’un week-end ?
De la liberté … beaucoup de gens me demandent si on est obligé d’éteindre son portable en arrivant. Pas du tout ! Mais on va en parler : chacun décide pour soi, pour son weekend, le niveau de déconnexion sur les temps libres. En revanche on laisse les smartphones dehors pendant les ateliers, comme pour n’importe quelle activité dans laquelle on souhaite rester concentré.
Et donc l’objectif est de s’offrir une pause régénérante et de reprendre sa liberté, son choix. Ensuite chacun repart avec ses petits pas, ses habitudes à modifier en fonction de sa vie et de son désir de déconnexion : nous fonctionnons en petit groupe pour que chacun.e reparte avec des conseils personnalisés.
Article à retrouver également sur le site Yelen